Les RITA MITSOUKO  MARCIA BAILA 

Paroles et Musique de Catherine RINGER Et Frédéric CHICHIN


     la    ré  si7   mi7    la    ré        si7  mi7 
1- Marcia, elle danse sur du satin, de la rayonne
la       ré si7     mi7    la    ré    si7 mi7
Du polystirène expansée à ses pieds
la       ré    si7       mi7 
Marcia danse avec des jambes
la      ré           si7    mi7 
Aiguisées comme des couperets
la             ré          si7  mi7 
Deux flêches qui donnent des idées
          la      ré si7 mi7
Des sensations 
la     ré   si7       mi7  
Marcia, elle est maigre
la          ré          si 7       mi7 
Belle en scène, belle comme à la ville
la        ré    si7      mi7        la  ré
La voir danser me transforme en excité

si7 mi7 la7
          Moretto
           fa#           sim 
Comme ta bouche est immense
              mi              la7 
Quand tu souris et quand tu ris
         fa#                      sim 
Je ris aussi, tu aimes tellement la vie
              mi7             do#m   mi 
Quel est donc ce froid que l'on sent en toi?

            la        ré      si7     mi7 
Mais c'est la mort qui t'a assassinée, Marcia
        la       ré        si7      mi7 
C'est la mort qui t'a consumée, Marcia
             la            ré    si7   mi7 
C"est le cancer que tu as pris sous ton bras
          la    ré        si7     mi7 
Maintenant, tu es en cendres, cendres
      la                  ré         si7    mi7 
La mort, c'est comme une chose impossible
           la          ré         si7      mi7 
Et même à toi qui est forte comme une fusée
            la        ré     si7       mi7 
Et même à toi, qui est la vie même, Marcia
        la     ré    si7    mi7
C'est la mort qui t'a emmenée

Marcia danse un peu chinois 
La chaleur
Dans les mouvements d'épaules 
A plat
Comme un hiéroglyphe inca 
De l'opéra

Avec la tête
Elle danse aussi très bien 
Et son visage
Danse avec tout le reste 
Elle a cherché
Une nouvelle façon
Et l'a inventée.

C'est elle, la sauterelle
Ia sirène en mal d'amour 
Le danseur dans la flanelle
Ou le carton.

Moretto
Comme ta bouche est immense 
Et quand tu souris et quand tu ris 
Je ris aussi, tu aimes tellement la vie 
Quel est donc ce froid
Que l'on sent en toi ?

Mais c'est la mort
Qui t'a assassinée, Marcia
C'est la mort
Tu t'es consumée, Marcia
C'est le cancer
Que tu as pris sous ton bras
Maintenant
Tu es en cendres, en cendres 
La mort
C'est comme une chose impossible 
Pour toi
Qui est la vie même, Marcia
Et même à toi
Qui est foroe comme une fusée 
C'est la mort
Qui t'a emmenée
Marcia (5 fois)
Transcrit par jerome.coiffard@tatoo.tm.fr